Ecole maternelle.
création en 1966, en fonctionnement aujourd'hui
Ecole privée catholique
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| L'ancienne entrée de l'école du Clos-Joli à Dinan |
L'origine de l'école du Clos-Joli
L'école du Sacré-Cœur étant devenue trop exiguë, surtout pour accueillir des enfants de 3 à 5 ans, et ses locaux ne correspondant plus aux exigences de l'administration (dortoirs, toilettes...), il fut décidé de construire une école maternelle dans le quartier nord-est qui, à l'époque, se développait rapidement.
Les Pères de Sainte-Croix possédaient un terrain qui servait de carrière. Ils consentirent à le vendre à l'Association Catholique des Chefs de Famille, représentée par Maître Henri Aubry.
Le budget total de 30 000 francs représentait une forte somme à l'époque.
Un premier article du 20 septembre 1966 titre "Dans les jardins de Sainte-Croix : une école maternelle de quatre classes".
On apprend que c’est le personnel de la S.G.C.I qui termine le gros œuvre des bâtiments. Mais tout ne sera pas prêt pour la rentrée des classes : le 20 septembre, on procède encore aux finitions sur le chantier de l’école du Clos-Joli.
L'article se conclut ainsi :
« Située dans un quartier tranquille, sur un terrain fort bien exposé et dans un cadre agréable, près d’une zone actuellement en expansion, cette nouvelle école maternelle rendra de grands services aux familles qui se félicitent de sa création »
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| 20 septembre 1966. Ouest-France |
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« Une école construite en un temps record »
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L'inauguration de l'école du Clos-Joli
L'école fut inaugurée en 1966, le dimanche juste avant la Toussaint, sous la présidence de Mgr Kervéadou, l'évêque de Saint Brieuc et en présence de René Pleven.
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| Inauguration du Clos-Joli à Dinan. 29 septembre 1966. Le Télégramme |
On reconnait sur la photo de l'inauguration à partir de la gauche, Mgr Kervéadou, l'évêque de Saint Brieuc ; M. Blanchot, maire de Dinan, de face ; M. Bannier lisant son discours...
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« M. Bannier s’avançait alors vers les fillettes qui tenaient ruban et ciseaux et coupa le ruban tricolore ».
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Dans le récit que fait la presse, nous noterons la présence de M. Bannier, président de l’Union départementale des A.P.E.L et de Maître Chauleur, président du Conseil d’administration des A.P.E.L des écoles du Sacré-Cœur et du Guesclin.
"Monseigneur Kervéadou procéda à la bénédiction des crucifix destinés aux classes tandis que Maître Chauleur confiait les clefs de celles-ci au personnel enseignant.
Précédé des personnalités, le public pénétrait dans l’école.
Après lecture d’un passage de l’Evangile, l’évêque du diocèse se déclara très heureux d’être à Dinan et de bénir ces nouveaux locaux précisément le jour de la fête de Saint-Malo…
Suivi des pères de familles portant les crucifix Mgr Kervéadou se rendit dans les différentes classes afin de les bénir".
On doit signaler le rôle de M. Philippe Chauleur qui a été tout à fait primordial dans la réalisation de ce projet. M. Chauleur était à l'époque le responsable financier de l'association des parents d'élèves de l'enseignement privé catholique à Dinan, ce qui représentait une énorme responsabilité.
Il avait aussi participé à la construction de Notre-Dame de la Victoire.
Maître Philippe Chauleur est né en 1912 dans le Nord, dans une famille de neuf enfants venus se réfugier à Dinan. Élève des Cordeliers. En 1936, il épouse Thérèse Eon dont le père est avoué, il en devient le collaborateur puis le successeur. De 1936 à 1972, M. Chauleur exerce la responsabilité de président de l'association Notre-Dame-de-la-Victoire ; de 1943 à 1981, membre du conseil d'administration des Cordeliers et président pendant quelques années ; de 1944 à 1970, président des écoles privées ; fondateur de l'école de formation ménagère de la Guerche ; conseiller municipal de 1945 à 1965.
Philippe Chauleur sera décoré de la rosette d'Officier des Palmes académiques en 1981 (photo ci-dessous).
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| M. Chauleur au centre.19 Mai 1981 Ouest-France |
La rentrée au Clos-Joli en septembre 68
Dans l'édition de Ouest-France du 24 septembre 1968, la rentrée est décrite de la manière suivante : "Pour les tout petits des classes maternelles, ce qui marqua surtout, ce fut, après la première et pénible séparation, la joie des retrouvailles avec la maman, le papa ou la grande soeur dès la première sortie du midi.
Pensez donc ! Quitter la chaude intimité du foyer où l'on est roi pour se retrouver plongé, abandonné, presque perdu dans une société où l'on est plus qu'un parmi ses semblables !
Première expérience de la vie : un déchirement ! Que c'est dur de devenir un homme ! "
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| Ouest-France 14-15 juin 1969 |
En décembre Ouest-France fait le tour de quelques arbres de Noël, mais le Clos-Joli est rebaptisé "Le Clos-Fleuri" !
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| 22 décembre 1969 Ouest-France |
En 1972, des friandises sont offertes par la municipalité au moment de l'arbre de Noël.
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| 20 décembre 1972 Noël au Clos-Joli. Ouest-France |
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| Exposition de dessins. 16 avril 1977. Ouest-France |
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| Les petits de la classe de Mmes Havard et Glon. 7 décembre 1981 Ouest-France |
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| Noël avec Pierrig Le Dréau. 8 décembre 1987 Ouest-France |
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| Voyage en train à Plancoët. Correspondance scolaire. 20 juin 1989 Ouest-France |
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| Carnaval Clos-Joli et Créhen. 27 février 2004 Ouest-France |
Les locaux
Cette photo aérienne nous dévoile les préfabriqués de l'école du Clos-Joli, au tout début des années 90.
En haut de l'image, on voit une partie de l'école Sainte-Croix toute proche et en bas de l'image, il y a l'emplacement d'une ancienne classe qui s'effondrait car elle avait été construite sur le terrain d'une carrière.
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| Le Clos-Joli, photo aérienne, années 90 |
Les classes et les dortoirs se répartissent à l'intérieur des préfabriqués de l'école du Clos-Joli. On en connait les défauts : il y fait froid en hiver et trop chaud quand il y a du soleil !
L'école doit attendre
jusqu'en 1971 pour disposer d'une cantine sur place. Entre-temps, les repas
étaient pris au Sacré-Cœur. Mme Viel était une personne importante de la cantine de l'école dans les années 70-80.
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| Les anciens dortoirs avec les lits pliants |
L'entrée de la maternelle présente le nom de l'école du Clos Joli bien en évidence. Ce type de bâtiment est assez économique car les panneaux en béton sont fabriqués en grand nombre et se posent rapidement.
Des barrières de sécurité le long de la route montrent les soucis posés par la circulation automobile aux abords des écoles.
Cette entrée de l'école restera ainsi jusqu'en 2011.
En avril 1984 le problème était résolu. Dans son édition du 24 avril Ouest-France titrait : Ecole du Clos-Joli, les enfants ont réintégré leurs salles de classes.
"Voici quelques mois on se demandait bien ce qu'il adviendrait de l'école du Clos-Joli. Grâce à la bonne volonté de tous, les travaux nécessaires ont pu être menés rondement et en moins de quatre mois l'école a été reconstruite et rénovée. Parents et enseignants n'ont pas hésité à donner de leur temps libre pour nettoyer les locaux, repeindre toutes les classes, salle de jeu ou de repos et réaménager les salles de classes.
Vendredi après-midi, ils étaient trente à travaille et à charger et décharger les camions remplis de caisses et de matériel".
Rappelons que le Clos-Joli accueillait 170 enfants répartis en 5 classes en 1984, il était indispensable de leur trouver une solution!
En 1999, de nouveaux travaux sont entrepris. Ils sont détaillés dans un compte-rendu de Ouest-France du 11 octobre 1999 : "Un flux continu de visiteurs a investi les locaux de l'école maternelle catholique privée du Clos-Joli à l'occasion de l'opération portes-ouvertes. Une opération destinée à montrer aux parents la première tranche de travaux de réfection et d'isolation des ouvertures, de réfection des peintures, ainsi que la réalisation de deux mezzanines en classe d'accueil et en moyenne section".
Le rôle des parents
Les parents des 3 A.P.E.L de Dinan sont réunies en juillet 1970 sous la présidence de l'abbé Le Péchon, inspecteur diocésain, et de messieurs Jacquet et Carré, présidents. A l'ordre du jour, l'augmentation des effectifs et un début de mixité.
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| Ouest-France 8 juillet 1970 |
Les parents sont très impliqués dans le fonctionnement de l'école dans l'enseignement privé.Le compte-rendu de leur assemblée générale en 1974 fait apparaitre l'ensemble de leurs prérogatives : salaires pour 11 personnes chargées du fonctionnement, garderies, cantines scolaires (Sacré-Coeur 100 enfants, Clos-Joli 120 enfants, l'école Duguesclin est desservie par la cantine municipale), travaux d'entretien, organisation de fêtes...
En novembre 1976, M. Guernion est le président des parents d'élèves et la trésorière Mme Duizet.
Soeur Thérèse est présente à l'assemblée générale et invite les parents à découvrir les classes dans la seconde partie de la réunion(19-11-1976 Ouest-France).
Une halte-garderie avec cantine est organisée par les parents (AEP, Association d'Education Populaire) au mois de juillet, à partir de 1977.
En 1983-84, on a vu le rôle primordial des parents quand il a été question de gros travaux pour sauver l'école...
Les parents n'hésitent pas, comme on le voit sur les photos ci-dessous, à même tronçonner des billes de bois !
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| Des parents en plein travail pour aider l'école. Photo Maryse Bidard |
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L'équipe pédagogique du Clos-Joli
L'équipe pédagogique du Clos-Joli est au départ formée d'institutrices dont certaines sont religieuses. C'est le cas de Soeur Yvonne et de Soeur Thérèse qui assureront la fonction de directrice.
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| Salle de Classe vers 1970 |
Dans
un article daté du 2 juillet 1981, la presse locale se fait l'écho
d'une cérémonie où Soeur Thérèse, directrice du Clos-Joli est décorée ainsi que ses collègues MM Le Hô, Floury et Rotter.
Soeur Thérèse quitte Dinan pour partir en région parisienne.
Caroline Cherotsky prend la direction en 1984 et elle restera 14 années à son poste.
En mai 1989, toutes les écoles privées catholiques de Dinan organisent le même jour une opération "Portes ouvertes" pour visiter les locaux, découvrir les innovations pédagogiques et rencontrer les enseignants. A cette occasion, le Clos-joli propose un montage audio-visuel retraçant l'histoire de l'école depuis sa création.
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| Ouest-France 23 mai 1989. |
En 1996, on a 120
enfants répartis en 5 classes. L'édition de Ouest-France du 29 août 96 évoque la rentrée à venir :
"L'école est dirigée par Caroline Cherotzky assistée de Noëlle Gégo, Marie-Annick Guillaume, Odile Rabet et Pierre Chouin, l'un des rares hommes à enseigner en maternelle dans la région. Une des spécificités de l'école du Clos Joli est d'accueillir les enfants de deux ans. Une classe leur est réservée dans les vastes locaux de l'établissement. L'école dispose d'une cantine et la garderie est assurée de 7h30 le matin jusqu'à 19h le soir. Cette année, l'école maternelle s'est dotée de matériel pour initier les enfants à l'informatique".
Le 8 mars 1997, Ouest-France fait savoir que les enseignantes du Clos-Joli éditent et diffusent une plaquette de présentation de l'école.
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| 8 mars 1997. Ouest-France |
L'édition de Ouest-France du 30 août 97 présente la nouvelle rentrée :
"115 petits arriveront lundi matin au Clos Joli. Cette école maternelle créée en 1967 comptera cette année un poste de moins. Le nombre de classes passera ainsi de 5 à 4. Autre changement, le départ de Pierre Chouin qui sera remplacé par Marie-Christine Salmon qui vient de Créhen.
Le Clos Joli a deux projets pour
cette nouvelle année. « Nous allons créer une bibliothèque centre de
documentation (BCD). Notre objectif est d'apprendre aux enfants à faire des
recherches dans un objectif précis, à se repérer dans une bibliothèque »,
annonce Caroline Cherotzkty, directrice. Deuxième projet, à l'initiative des
parents celui-là, créer une activité patins à roulettes".
A la rentrée 1998, Annie Martin (venant de Plélan-le-Petit) prend la direction de l'école en remplacement de Caroline Cherotsky partie en retraite.
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| 25 juin 1998 Ouest-France |
L'école du Clos-Joli en septembre 1998 est composée de 4 classes regroupant 90 enfants.
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| 26 août 1998. Ouest-France |
En 1999, on a 107 élèves répartis en 4 classes.
Ensuite, à la rentrée 2000-2001, l'école du Clos-Joli perd sa direction autonome. Bernadette Plault (née Faguet) assume cette fonction entre 2000 et 2005 et devient la seule directrice responsable des 3 sites (Sacré-Cœur, Sainte Croix, Le Clos-Joli).
La directrice est secondée dans sa tâche sur chaque école par des coordinateurs de direction : pour le Clos-Joli, il s'agit de Maryse Ollivier-Bidard.
Ci-dessous, une photo des équipes pédagogiques des 3 écoles, Bernadette Plault en gros plan, article de Ouest-France du 30 août 2000.
Le contrat d'association. Mars 2000
Lors d'un Conseil municipal du mois de mars 2000, un changement important est intervenu concernant le statut de l'école.
Un contrat d'association a été signé entre la municipalité et les écoles primaires et maternelles privées. Elles ont ainsi abandonné le régime de contrat simple qui les liait avec l’État depuis 1991.
Ce nouveau contrat concerne les trois écoles (Clos Joli, Sainte-Croix et Sacré-Coeur), soit 22 classes de maternelles, primaires, et perfectionnement, 210 élèves d'élémentaire et 107 élèves de maternelle, scolarisés.
La convention prévoit un financement unique de 2 865 F par élève.
(D'après un article de Ouest-France du 29 mars 2000).
La modernisation de l'école du Clos-Joli. 2011
La
maternelle du Clos-Joli a été totalement réhabilitée et mise aux normes en 2011.
Les quatre classes ont été réaménagées, et une nouvelle aile a été construite
contenant une salle de motricité et une salle de repos. La cour de l'école a
été agrandie et modernisée. Une nouvelle structure de jeux avec toboggan a été
installée un peu plus tard dans l'année 2011. Le coût total est de sept cent
mille euros.
En septembre 2011, les enfants sont rentrés dans un ensemble considérablement rénové permettant un meilleur accueil et de meilleures conditions de travail pour les différents personnels.
On peut lire sur le site du groupe d'architectes qui a réalisé cette transformation :
« Reconstruire et agrandir une école maternelle en structure préfabriquée d’il y a 40 ans, en site occupé n’est pas une mince affaire.
Il a fallu penser tranches de travaux, désamiantage, accessibilité, mise au normes, ergonomie et bien sûr esthétisme…
Défi relevé par l’équipe d’Aprime Architecteurs pour une réalisation haute en couleurs pour cette école.
Enseignants et élèves sont enchantés du résultat ».
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| Photo du site Aprime Les Architecteurs |
En septembre 2019, de nouveaux élèves sont accueillis car la maternelle du Sacré-Coeur est délocalisée sur le site du Clos-Joli.
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| Ecole du Clos-Joli Dinan. 2015 (photo R. Fortat) |
Sœur Yvonne de la communauté de Créhen, directrice en 1966
Denise Glon, depuis les années 60 jusqu'en 1989
Mme Le Gall, directrice, départ en 1974
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| 29 août 1996. Caroline Chérotsky avec Luc Jouneau OGEC |
Noëlle Jégo, années 90 jusqu'en 2000 et plus...
Pierre Chouin, de 1992 à 1997
Marie-Annick Guillaume, en 1996
Marie-Christine Salmon (remplace Pierre Chouin en 97)Annie Martin, directrice, nommée en 1998 (venant de Plélan-le-Petit)
Marie-Pierre Communier, nommée en septembre 1998, vient de Saint-Jouan de l’Isle.
Irène Aillet, en septembre 1999
Ci-dessous, photo 1999, Annie Martin à droite
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| Ouest-France 28 août 1999. L'équipe du Clos-Joli |
Maryse Ollivier-Bidard
Jean-Louis Wentzeis
Bernadette Plault (née Faguet), directrice de 2000 à 2005.
Catherine Acart, nomination en septembre 2003
Isabelle Prudhomme, nommée en septembre 2005
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| Maryse Ollivier-Bidard en 1999. Photo Ouest-France |
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