Ecole de la Ruche
Rue Maurice Tardivel Dinan
Ouverture en 1977, toujours en fonction
Ecole publique Cette école ouverte en mai 1977 possèdera jusqu'à 12 classes (primaires et maternelles). La Ruche, c'est aujourd'hui le seul établissement scolaire qui subsiste parmi les trois écoles bâties au milieu des cités H.L.M autour des années 70 ! Les écoles de la Bretonnière et de la Source n'ont pas résisté à la baisse démographique, elles ont disparu.
L'origine de l'école de La Ruche Le chantier de l'école de La Ruche. Bulletin municipal du 12 décembre 1976 La création de la Ruche en 1977 est liée à la nécessité d'absorber provisoirement les enfants de l'école maternelle de La Garaye dont les bâtiments devaient subir d'importants travaux à l'époque. Le provisoire durera 10 ans puisque les élèves de La Garaye ne rentrèrent dans leurs murs qu'en 1986. Le chantier de La Ruche va être rondement mené car l'entreprise de construction utilise des méthodes qui permettent d'apporter sur place des plaques entières qui vont s'emboiter comme dans un jeu de construction. Ci-dessous, construction. Photo à partir des diapositives du maire M. Blanchot L'ouverture de l'école en mai 1977 Le chantier de l'école de La Ruche était suivi à Dinan. Le 5 janvier 1977 le journal Ouest-France fait le point sur l'avancée des travaux (texte ci-dessous). "Répondant à un impératif d'autant que l ’Ecole de la rue Comte-de-la-Garaye a été jugée dangereuse et inapte à toute amélioration par la commission de sécurité, le nouveau groupe scolaire de « La Ruche » prend corps dans le quartier Nord-Est. Située sur un terrain vaguement hexagonal, cette réalisation conçue par M Lecoq, architecte à Dinan dont le désir rejoignant celui des services de l’inspection académique était de voir adopter des formes assouplies se prêtant à une pédagogie plus libre, répond à tous les critères grâce à l’utilisation de la construction industrialisée et également de volumes prismatiques à modules triangulaires. L’ensemble se présente sous la forme d'un simple rez-de-chaussée sur plate-forme en béton, ce qui supprime pratiquement toute fondation. Le projet répartit les salles de classes et les ateliers du bloc élémentaire autour d’un patio hexagonal sur lequel débouchent la bibliothèque, la cantine et la salle polyvalente, tandis que les salles d'exercice et la cantine de l’école maternelle de quatre classes s'agglutinent autour de la salle de jeux. Seuls se trouvent à l'étage les logements de la directrice, du directeur et du gardien. Jouxtant donc l’école élémentaire de six classes, l'école maternelle sera dotée d'une aire de jeux pour les ébats des enfants. Les terrains de jeux traités en alvéoles dans la verdure auront des parcelles affectées au jardinage. De petites aires sablées seront aussi réservées au devant des salles d'exercice afin de permettre de faire la classe en plein air à la belle saison. Déjà bien avancé, ce nouveau groupe scolaire de « La Ruche » pourra être opérationnel dans quelques mois.
La fin de l'article, daté du mois de janvier 77, espérait une ouverture de l'école "dans quelques mois" et c'est ce qui se produira... Le 13 mai 1977 le journal Ouest-France peut enfin titrer sur l'ouverture de l'école de La Ruche. On y loue le nouveau groupe scolaire : "Clair, rationnel, esthétique, sinon spacieux". L'école fonctionne avec 4 classes de maternelle et 6 classes de primaire. Il est précisé qu'un service de car est assuré tous les jours de classe, du centre-ville à l'école de La Ruche. Le départ est face à l'école de La Garaye à 8h30 et le retour est effectué à 17h. Le samedi 4 juin, une journée Portes-ouvertes est organisée pour que les parents découvrent la nouvelle école. La première année où les enfants doivent être réinscrits pour la rentrée de septembre 77 va poser problème : un communiqué de l'association de parents, "en accord avec les directrices des écoles primaires et maternelles de la Garaye, occupant provisoirement les locaux scolaires de la Ruche" est publié dans Ouest-France du 8 juin 77. Il y est dit que "les nouvelles inscriptions sont réservées en priorité aux enfants provenant du secteur géographique de la Garaye. C'est à dire le quartier de la Gare, centre-ville et cité Saint-Charles... En conséquence il est demandé aux parents se trouvant à proximité de La Ruche de faire inscrire leurs enfants auprès de l'école correspondant à leur secteur, mais qui n'est pas forcément le plus proche de chez eux. Cette situation, dont ne sont pas responsables les parents et enseignants, ne trouvera de solution que lorsque l'école de la Garaye sera reconstruite. Ce qui permettra alors de rendre la Ruche aux habitants du quartier auquel elle a été initialement destinée. Ces questions épineuses de "territoire" ne vont malheureusement pas faciliter la vie des parents.
Les aménagements A la création de l'école de nombreux aménagements extérieurs doivent être réalisés : voies d'accès, aires de jeux... En 1979, de nouveaux meubles sont conçus par les employés des ateliers municipaux (voir ci-dessous). Ci-dessous, photo de la cour de récréation en 1980 avec Nicole Garoche à droite Parmi les directeurs qui assurèrent la cohésion des équipes, citons en particulier Jean-Pierre Le Camus, Bernard Robert, Joël Renault, Marylène Lamotte ou Marie-France Treize et Odile Frénot, pour la maternelle. Ci-dessous Marie-France Treize et Jean-Pierre Le Camus en 1982. Une fête à la Ruche en 1982 Ci-dessous, à gauche Mme Le Camus, au second plan, Joël Renault et Marie-Georgette Oréal et tout à droite Mme Pellan. Ci-dessous, qui est-ce ? utiliser le formulaire de contact si vous savez ! Ci-dessous, Dominique Delourme (futur Inspecteur) et Marie-Georgette Oréal La piscine pour les maternelles de La Ruche 1983 Ci-dessous, un article de Ouest-France du 7 février 1983 rapporte l'expérience menée par les enseignantes de maternelle de Dinan avec la piscine des Canetons en direction des jeunes enfants. Une initiative intéressante. Le retour de La Garaye dans ses murs en 1986 L'école maternelle de La Garaye s'est toujours considérée comme dans une phase de transition en occupant les locaux de La Ruche, en attendant que la Garaye soit remise aux normes. Les travaux enfin terminés en centre-ville, les enseignantes repartent à La Garaye après presque 10 années... Malgré quelques craintes concernant les effectifs, après 1986, l'école de la Ruche trouva son identité et sa vitesse de croisière. La première années était fatalement difficile puisque de nombreuses familles devaient faire le choix de rester à la Ruche ou de partir (ou repartir) vers la maternelle de La Garaye.
Une initiative, 1988 L'école de la Ruche ouvre ses portes pendant l'été 1988 pour des stages d'anglais avec Corinne Deschamps (ci-dessous en photo dans l'édition de Ouest-France du 28 août 1988). La rentrée de 1996, l'école de La Ruche est renforcée par la restructuration des écoles. En 1996, la rentrée dans l'enseignement public est marquée par d'importantes restructurations. L'école maternelle Chauffepieds a fermé ses portes et a été transférée à la Garaye. La maternelle Broussais est également fermée. Les écoles de La Bretonnière et de La Source ont fusionné. La maternelle de La Bretonnière disparaît et les élèves sont déplacés sur le site de la Ruche qui en tire plutôt un bénéfice.La rentrée au 1er septembre 1996 dans Ouest-France Texte ci-dessous "En
septembre 1996, Odile Frenot fait sa vingtième rentrée à l'école maternelle de
la Ruche. Cette année, l'école ouvre avec quatre classes qui vont accueillir 92
élèves. L'école primaire dirigée par Bernard Robert depuis 1992 ouvre avec six
classes dans lesquelles 125 enfants vont étudier. Un effectif stable. Pour
cette rentrée, l'école primaire s'est dotée de quatre ordinateurs pour initier
les élèves à l'informatique. Le projet pédagogique de l'école prévoit l'édition
d'un journal scolaire. L'équipe d'enseignants réfléchit à la mise en place d'un
contrat d'aménagement du temps de l'enfant basé sur la musique et l'expression
théâtrale". La fin des années 90 Ci-dessous, une classe des grands de La Ruche en sortie au Préhisto-parc dans le Morbihan, aux alentours de 1997. Une activité très appréciée par les enfants ! La rentrée au 1er septembre 1997 dans Ouest-France Texte ci-dessous. Une école appelée Les Ruches ! "En
maternelle, 89 petits font leur rentrée aujourd'hui aux Ruches qui compte
quatre classes. Annick Quintin, partie en retraite, est remplacée par Béatrice
Amberndtson, qui arrive de Pleslin. Dans la cour, agrandie, les élèves
trouveront un nouveau jeu aux couleurs flamboyantes. L'école élémentaire ne
comptera plus que cinq classes cette année. Michèle Gumiel, qui prend sa
retraite, ne sera pas remplacée. Les 115 élèves pourront bénéficier des cinq
ordinateurs mis à leur disposition. Trois seront équipés du multimédia. Enfin,
des cours d'anglais seront dispensés à tous les niveaux sauf en CP". La rentrée au 28 août 1999 dans Ouest-France
A la fin des années 90 et au début 2000, l'école de la Ruche voit ses effectifs augmenter et pense pouvoir obtenir un poste supplémentaire. Mais en septembre 2000, c'est la déception, l'inspection académique coupe la poire en deux et le poste est partagé avec l'école de Quévert bourg (Ouest-France 7 septembre 2000). Un kiosque
inauguré en juin 2003 Un kiosque est installé en 2003 dans la cour de l'école élémentaire de la Ruche. Ce kiosque, de 5 mètres sur 5 à ossature bois, pouvait être transformé en lieu de vie (théâtre, contes, chants) pour les enfants. Le service des espaces verts de la ville a également travaillé à son installation. L'inauguration a eu lieu hier soir en présence du maire, René Benoit, de Daniel Mallet, adjoint aux affaires scolaires, de Dominique Bourget, inspecteur de l'Éducation nationale, des enseignants, de François Verre responsable de E.T.P.O, des enfants et des parents. (D'après un article de Ouest-France du 20 juin 2003, avec en photo à la guitare Cyrille Voisin) Les maternelles à la Ruche et le primaire à l'école Yvonne Jean-Haffen. 2005 Dans un article de Ouest-France du 8 février 2005, on comprend mieux les interrogations des parents des écoles de La Ruche et d’ Yvonne-Jean-Haffen sur l’avenir des groupes scolaires : Les conseils d'écoles de La Ruche et de l'école Yvonne-Jean-Haffen ont procédé au dépouillement de la consultation lancée auprès des familles sur l'avenir des deux écoles.À Yvonne-Jean-Haffen, 73 % des familles souhaitent la répartition des élèves sur les deux sites, 27 % sont favorables au regroupement sur le site de La Ruche. À la Ruche, le résultat est
exactement inverse : 13 % des familles souhaitent la répartition des élèves sur
les deux sites, 87 % sont pour le regroupement à La Ruche. Globalement, sur l'ensemble des deux écoles, 31 % des familles qui ont répondu au questionnaire sont favorables à la répartition sur deux sites, 69 % sont pour le regroupement à La Ruche « après travaux et aménagement des locaux ». Dans un courrier adressé au maire, le président du conseil d'école de La Ruche, M. Roncière précise que « bon nombre de familles se disent prêtes à retirer leurs enfants dans l'hypothèse d'une restructuration sur deux sites ». En conséquence, il demande à René Benoit, au nom des parents des deux écoles, d'organiser une réunion d'information avant qu'il ne rende sa décision. Alors qu'ils s'étaient prononcés à 69 % pour un regroupement de tous les élèves du quartier à La Ruche, pour faire face à l'érosion des effectifs, la mairie a alors préféré répartir les maternelles à la Ruche et les primaires à l'école Yvonne-Jean-Haffen, laissant quatre classes vacantes à la Ruche.
La question de l'école Diwan à la Ruche. 2005 Diwan ira à la Ruche en septembre, c’est ce qu’explique l’article suivant de Ouest-France daté du 6 juillet 2005. « Troisième déménagement en cinq ans d'existence pour Diwan. Après l'ancienne maternelle Chauffepieds et la caserne Beaumanoir, l'école bretonnante s'installera dans les locaux de l'école de La Ruche à la rentrée prochaine. « Le bail, précaire et révocable qui nous lie à Diwan s'achève fin juillet. Comme nous souhaitons créer un pôle d'enseignement supérieur dans les bâtiments occupés actuellement par l'école, il nous fallait trouver une autre solution. Le président de Diwan, M. Croguennec avait entendu dire qu'il y avait des locaux vides à la Ruche. Nous avons étudié sa proposition et nous l'avons acceptée », raconte le maire René Benoit. L'affaire fait grand bruit à la Ruche. Le maire a pourtant pris les devants en livrant l'information au conseil d'école dès le 7 juin, où « des critiques ont été émises », reconnaît-il, puis en organisant une réunion de concertation entre les directions et les représentants des parents d'élèves de Diwan et de La Ruche le 29 juin. « L'entretien a été particulièrement agréable, des parents d'élèves de la Ruche ont même dit leur intérêt pour la culture bretonne », affirme René Benoit. Le ton est tout autre aujourd'hui. « Comment faire côtoyer une école et une association d'enseignement privé sur un même site ? Cette proximité ne va-t-elle pas entraîner une confusion pour de nombreuses familles au détriment du service public ? » interroge l'association des parents d'élèves, présidée par Emmanuel Roncière, dans un communiqué. « Diwan est une école laïque en instance d'obtenir un contrat d'association », répond René Benoit, qui « en appelle à la sagesse ». L'affaire survient dans un contexte tendu. Les parents d'élèves de la Ruche n'ont visiblement pas digéré le démantèlement du groupe scolaire. Alors qu'ils s'étaient prononcés à 69 % pour un regroupement de tous les élèves du quartier à La Ruche, pour faire face à l'érosion des effectifs, la mairie a préféré répartir les maternelles à la Ruche et les primaires à l'école Yvonne-Jean-Haffen. C'est pourquoi, il restait quatre classes vacantes à la Ruche. Ils redoutent aujourd'hui que l'installation de Diwan ne mette « un terme à la perspective de regroupement sur un seul site ». « Si demain, les effectifs continuent de baisser, il sera très facile de déménager Diwan, qui ne compte que 40 élèves, à Yvonne-Jean-Haffen », répond René Benoit. Autrement dit, en anglais : Wait and see.
Une seule école, une seule direction. 2009 Depuis la rentrée 2009 la maternelle et l'élémentaire sont
Des actions originales saluées par la presse
Nettoyage de la nature. 2010 Dans le cadre d'un projet sur la nature et l'environnement, 93 enfants (du CP au CM2 ainsi que la classe d'intégration) de l'école de la Ruche, se sont dispersés en petits groupes afin de récolter dans différents quartiers de la ville des déchets trouvés sur la voie publique, dans les talus, les bosquets. Ils ont ensuite pesé les déchets récoltés (91 kg), puis les ont triés et une partie a été utilisée dans un projet d'art plastique avec une exposition à la clé. (d'après un article de Ouest-France du 25 septembre 2010) Ci-dessous, photo de Ouest-France du 25 septembre 2010 Un échange scolaire avec l'île de la Réunion. Mars 2015 L'école de la Ruche a accueilli une école de la ville de Cilaos, située au centre de l'île de la Réunion. L'objectif de cette rencontre était un échange scolaire bien sûr, mais également une recherche généalogique : les Réunionnais ont constaté qu'ils avaient des ancêtres à Dinan. Ils ont fouillé dans les archives de la bibliothèque pour avoir confirmation. Au cours de la réception entrecoupée de chants et de musiques, les Réunionnais avaient confectionné des plats de leur région et les petits Bretons des galettes-saucisses avec l'aide des parents d'élèves et du président Emmanuel Roncière. Le projet était mené par la directrice Christelle Kervel et Bertrand Posnic. René Benoit et Daniel Mallet étaient également présents à cette manifestation. (D'après un article de Ouest-France du 14 mars 2015) Ci-dessous, les Réunionnais et les élèves de La Ruche. Photo de Ouest-France du 14 mars 2015
Un dispositif d'accueil des tout petits. 2015 Magali Hautière assurera l'enseignement des tout premiers apprentissages, secondée par Aurélie Lefèvre, l'assistante maternelle. Le recteur d'académie en personne s'était déplacé à Dinan l'an passé lors de la mise en place de cette classe. Maryvonne Mazgaldi, la directrice de l'école, souligne que « Ce dispositif d'accueil spécifique des tout petits a été très apprécié. Les rentrées s'échelonnent sur toute l'année. Une vingtaine d'enfants la fréquentaient en juin dernier. Et le bilan de cette expérience a été jugé largement positif, autant par l'Éducation nationale que par les parents d'élèves. » Ci-dessous, photo de Ouest-France du 1er septembre 2015. François Lefort, inspecteur ; Catherine Gastard, inspectrice en maternelle ; Magali Hautière, en charge du dispositif des 2-3 ans ; Maryvonne Mazgaldi, directrice ; Anne-Sophie Leroux et Aurélie Lefèvre, assistantes maternelles. Une école au coeur de la cité Lécuyer La Ruche est installée au milieu de la cité Lécuyer. Cette école tient compte de la spécificité de son ancrage dans une cité qui a 93% de logements sociaux. Après le regroupement avec l'école Yvonne-Jean Haffen, dans le cadre du programme de Réussite éducative, l'école s'est forgée une image dynamique liée à des projets culturels, notamment autour de la musique. Un accueil des enfants dès l'âge de 2 ans est également une initiative originale au sein de ce quartier prioritaire dans la politique de la Ville. Le maire Didier Lechien et le recteur d'académie, Michel Quéré, l'ont réaffirmé publiquement lors de leur visite à l'école de la Ruche pour la rentrée 2015. Ci-dessous, photo Ouest-France avec Didier Lechien et la directrice. Bizarre autant qu'étrange ! Une histoire bien étrange s'est déroulée à l'école de la Ruche à la rentrée 2016. Les élèves de maternelle de l'école de la Ruche, à Dinan ont eu la surprise de voir ce jour-là que les tas de sable de la cour avaient disparu pendant l'été. Maryvonne Mazgaldi, la directrice de l'école, a également constaté qu'à la place il ne restait plus que des tas de terre ! Une quinzaine de jours avant la rentrée, deux gros camions chargés de terre sont arrivés dans l'école. Et une pelleteuse a procédé à l'échange. Personne n'a été mis au courant, pas même Brigitte Balay-Mizrahi, l'adjointe chargée des écoles à la mairie qui déclare : "Je ne sais pas qui a ordonné ces travaux". Du côté du service éducation-enfance-jeunesse, c'est aussi l'étonnement : « Ces travaux ne
font d'ailleurs pas partie de la liste des chantiers prévus durant ces vacances
d'été ». On attend encore une explication ! (D'après un article de Ouest-France du 1er septembre 2016, la photo montre la perplexité de la directrice devant un tel spectacle ! ) Les 40 ans de La Ruche L'école de la Ruche a souhaité fêter dignement ses 40 ans en juin 2018. Deux anciennes enseignantes de l'école, Chantal Bouchetal et Odile Frénot, ont à l'ouvrage pendant quelques semaines pour préparer une exposition réunissant photographies de classes, mais aussi cahiers, livres et matériel d'autrefois et d'aujourd'hui. Le jour de la fête une foule nombreuse était réunie. Le maire, Didier Lechien, a rappelé que l'école est le témoin de l'évolution géographique de la ville et du quartier. Odile Frénot, l'ancienne directrice, a ensuite retracé l'histoire de l'établissement. Préparation des 40 ans avec ci-dessous, au premier plan Odile Frénot et Chantal Bouchetal et au second plan Emeline Toutain, la directrice de l'école (photo Ouest-France 15 juin 2018). Ci-dessous, une partie de l'assistance, photo du journal Le Télégramme Si vous avez des éléments pour compléter cet article (photos, témoignages...) merci d'utiliser le formulaire de contact en haut à droite... Pour en savoir plus Lien pour accéder à des photos sur la construction de l'école de la Source Lien pour accéder à des photos d'une fête à la Ruche en 1982 Lien pour accéder à des articles de presse en 1986 sur la Ruche Lien pour accéder à un article sur le programme de scolarisation des enfants de 2 ans à la Ruche. Lien pour le site Copains d'avant Ecole de la Ruche Dinan Vous retrouverez les anciens élèves ou instituteurs.
Ci-dessous, photo du chantier de la construction de la Ruche |
1976 Fin des travaux de construction de l'école de la Ruche. Dinan (Photo Y. Blanchot) |
Liste des enseignantes de maternelle à la Ruche 1976 à 1986
Liste d’enseignant(e)s des classes élémentaires à la Ruche
1976-77 à 2012
J’indique ici le plus souvent les dates où vous trouvez
l’enseignant en photo sur le site Copains d’avant, Joël Renault m'a également aidé à compléter cette liste.
Remarque : les premiers enseignants qui sont arrivés dans l'école qui venait de s'ouvrir ont commencé l'année scolaire 1976-1977 à La Garaye. Ils ne sont arrivés qu'au mois de mai 1977 dans leurs nouveaux locaux.
Koskas Jeannine, directrice, 1976(-77)-1979 retraite, nommée Chevalier des Palmes Académiques en 1978, venait de La Garaye.
Boixière Marcel 1983-1984
Lesné Sylvie
Mazgaldi Maryvonne, directrice
Buis Béatrice.
Kervel Christelle, septembre 2004, vient de Vildé
Hautière Magali, directrice de la maternelle en 2008
Pestel Aude, arrivée de Guingamp en septembre 2010
Toutain Émeline, arrivée d'Amiens en septembre 2010
Salaün Yann, Réseau d'aide, arrivé d'Yvignac-la-Tour en septembre 2010
Rabin Cécile, venant de la maternelle des Fontaines, arrive en CP en septembre 2012
Martins-Marques Marie-Angélique, vient de Taden, nommée en CE1 en septembre 2012
1982. Joël Renault à l'arrière plan |
2009. L'équipe de la Ruche avec au premier plan à droite Maryvonne Mazgaldi, la directrice ; Chantal Bouchetal, 3ème en partant de la gauche. |
L'école de la Ruche à Dinan en 2015, côté cour. (Photo R.Fortat) |
L'école de la Ruche à Dinan en 2015. (Photo R.Fortat) |
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L'équipe de La Ruche en 2016. 2e à partir de la gauche, Maryvonne Mazgaldi ; 3e Magali Hautière ; 4e, Béatrice Buis. |
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